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Je suis un artiste peintre symboliste, écrivain (le conte « la Clé d’Or de Léonard de Vinci »), troubadour et Rose Croix contemporain.
Je suis dans la lignée de la chaîne d’or des Fidèles d’Amour ; empruntant le chemin de perfection et de réalisation spirituelle qu’est le fin’amor et de la Rose Croix ; comme Dante Alighieri, Léonard de Vinci, Joséphin Péladan.
Je suis né à Talence, en Octobre 1961. Mon enfance s’est déroulée aussi mouvementée que peut l’être un enfant habitant une école maternelle à Dax. Un paradis fait de jeux et d’éveil.
L’adolescence fut plus difficile car à onze ans, je découvre la ville de Bordeaux. Une nouvelle maison et un sentiment de prison avec des contraintes. C’est à seize ans que je découvre un livre de Lobsang Rampa dans la bibliothèque de mon père. Celui-ci est fort surpris d’apprendre l’existence de ce genre de livre parmi ses livres. Le pensionnat (boite à bacho) rajoute à ce sentiment. Je découvre la notion de communauté humaine.
En 1981, j’ai 20 ans. Je cherche une librairie ésotérique à Bordeaux. Je parcours la librairie en en faisant le tours. Les livres de Max Heindel, m’interpellent et c’est la Rose Croix qui m’attire. Je prend mon vélo et cherche la loge de Bordeaux, je me rends compte qu’elle n’a rien à voir avec avec l’enseignement de Max Heindel. Je me retrouve à l’AMORC, une autre école Rosicrucienne.
En même temps, je rentre aux Beaux Arts de Bordeaux où je découvre que la vie d’artiste est cloisonnée, baillonnée. Pour présenter son dossier de fin d’étude au Jury du concours, dans la section artistique, le postulant ne peut pas réaliser d’oeuvre figurative. En fait, seul l’abstrait est admissible .Je choisi, alors, une autre section comme « le Diplôme National d’Art et Technique »que je reçois en tant que candidat libre car les professeurs, comme le directeur, me mettent des bâtons dans les roues. C’est une section qui mène au sein de l’Univers publicitaire, un monde dont l’état d’esprit n’est pas conforme à mon idéal. C’est pourquoi je choisi l’édition, moins excentrique.
Je m’entoure d’un groupe que nous appelons « cristal ». Nous parcourons la France allant sur des sites spirituels et rencontrant des personnes extraordinaires comme des initiés.
Nous sommes en 1983, nous partons avec deux voitures de Bordeaux pour Rocamadour . Nous prions et méditons devant la vierge noire. La nuit va bientôt tomber. Les quatre jeunes femmes du groupe décident de rentrer pour Bordeaux. Elles prennent la route subitement. De loin, je les vois s’évanouir de l’horizon. Je préviens mon compagnon de route et nous décidons de les rejoindre, mais quelle direction ont elle pris ? Ce sera vers la gauche.
Nous roulons sans les apercevoir. Mais, au bout de quelques kilomètres nous les rejoignons à l’entrée d’un village. Je les vois sortir de leur voiture. Nous les suivons à pied. Arrivée devant le seuil d’une porte, une vieille femme les accueil. Nous entrons . Dans le couloir, elle nous dit que sa maison d’hôte est une ancienne commanderie Templière… et que ce lieu est hanté. Fatigués nous allons nous coucher, les fermes d’un côté et les hommes de l’autre, un seul grand lit pour nous deux.
En peu de temps, j’entends ronfler mon compagnon. Mais, soudain, du coin de la chambre ,apparait un homme barbue qui se dirige vers moi en criant :
« – Que faites vous là ? Vociféra-t-il.
Surpris, je lui répondis que nous ne faisons que passer. Etonné, il me regarde avec des yeux écarquillés. Il a l’air aussi surpris que moi. Soudain, il disparaît. Les murs commencent à trembler. Un paysage apparaît. Celui-ci bouge, avance. Je me rend compte, qu’en fait, c’est moi qui me déplace. Je me dirige vers un désert de cailloux où se trouve un mont surmonté d’un château en pierre. Arrivé proche des murs, je traverse la pierre très facilement. Je découvre une pièce. Dans celle-ci sont assis autour d’une grande table en bois des hommes vétus de robes blanches. Un homme debout, habillé de la même manière, s’approche de moi. Il est beau, blond aux yeux bleus. Il me souhaite la bienvenue en me disant :
« – bienvenue, frère ! »
Il me demande de le suivre en montant un escalier de pierre. Je le suis . Mais, je me retrouve allongé près de mon compagnon qui continue de ronfler.
Le sommeil m’emporte. Le lendemain matin, voyant les jeunes femmes occupées à déjeuner je n’ose pas leur raconter ce que j’ai vécu.
Nous partons pour Bordeaux. Ce ne fut que plusieurs années plus tard que je compris qu’ils m’avaient abducté en astral. Mais, qui étaient ils ?
Une année passe et j’obtiens mon diplôme. Mais, une autre année prend tout mon temps, celle du service militaire.
Me voici en 1985, et quelques mois après être sortis de la caserne je remarque une publicité offrant un enseignement par correspondance de la Rose Croix : le Cénobite Christique de la Rose Croix. Je m’inscris, celui-ci dure cinq ans. A la fin, ils me demandent d’être leur ambassadeur.
J’ai essayé de les contacter physiquement mais aucune réponse. A l’époque, je me trouve trop jeune pour cette charge. Cette situation est bien étrange, aussi mystérieuse que la rencontre en astral de ces humains vêtus de blanc. Je laisse ceci de côté. Ce n’est que vingt cinq ans plus tard que j’acceptai.
Pourtant, le groupe part pour Paris en 1987. Un homme habillé tout en violet, avec une écharpe violette, nous emmène, mon amie et moi, rencontrer une personne dont-on dit être extraordinaire, Jacques Guyot, un ancien antiquaire. Arrivé chez lui, celui-ci s’en va Nous patientons dans une salle d’attente.
La secrétaire nous invite à entrer dans une pièce surchargée d’objets hétéroclites. Au centre, se trouve une table ronde. Des voix se font entendre et un homme se présente. Nous nous asseyons tous les trois autour de la table. Il nous explique la situation. Dés le début, il nous prévient qu’il n’est pas médium. Bien qu’il ait des guides comme Edgar Cayce et Albert Pochard. Il va chercher une cassette vierge pour la mettre dans un appareil.
« – voyez vous, lorsque je suis en sommeil magnétique, je n’ai pas conscience de ce qui se passe dans la pièce. C’est pourquoi, je suis obligé d’enregistrer ! »
Après quelques respirations et quelques décontractions nous remarquons sa voix changer. Il nous parle différemment. En fait, c’est un autre homme qui se met à parler. Il se présente :
Léonard de Vinci. Il nous explique qu’il vient de la sphère Emeraude, le monde des artistes.
Que du temps de la Renaissance Italienne, j’étais son disciple. Que Jacques, Jacomo, était son fils adoptif: Salaï (le petit diable) . Cela se passait aux environ de 1500 après JC et nous avions une vingtaine d’année. Je passais mon temps avec Salai à faire des bêtises.
Léonard de Vinci me dit, qu’à l’époque, il avait du aller à Amboise finir ses jours. Alors que moi j’allais rejoindre Michel Ange. Mais, aujourd’hui, tout ceci n’a aucune importance.
Après son message, l’être se présentant comme Léonard de Vinci nous dit au revoir et jacques reprend sa place. Il cherche, de suite, à écouter la cassette. Malgré tout, il entend toujours Léonard lui parler. Il précise que Léonard de Vinci ne se déplace que rarement. Il est très heureux de me revoir ayant toujours une certaine affection pour moi. Bien sur , tout ceci me semble surréaliste. Il me dit aussi que Cayce est présent et précise que Jacques est en fin de vie alors que moi je la commence.
Ensuite, Jacques m’ouvre mon livre de vie. Il me raconte ce que je vivrai dans le futur entre mes 26 ans et mes 45 ans. Que je n’allais pas rester à Niort pour travailler pour la CAMIF en tant que maquettiste et que j’allais habiter un pays de châteaux. Je croyais que j’allais rejoindre mes parents à Bordeaux, pays des châteaux du vin. Mais ce n’est qu’en 1991 que je m’installe à Tours, un autre pays de châteaux en bord de Loire où régnaient les rois de France.
Sur le moment, je ne connais rien de la région ainsi que d’Amboise. Avec mes amis, nous créons une association que j’appelle « APS, Association des Peintres Symbolistes » qui deviendra le Centre Culturel « EVEIL» durant 8 ans. Ce centre nous permet de continuer nos activités artistiques, ésotériques et spirituelles jusqu’en 2000. Après cette année, le monde change autour de moi et le temps m’accapare dans un milieu professionnel profane, la peinture en bâtiment jusqu’en 2024, l’année de ma retraite.
Depuis 2017, je crée le conte « la Clé d’Or de Léonard de Vinci » ainsi que les peintures qui l’illustrent. C’est en 2025 que le site « artdages » apparaît, une renaissance de l’art Symboliste en terre d’Amboise, le dernier soupir physique de Léonard de Vinci s’étant fait jour.
La chaine d’Or restera toujours présente grâce à nos inspirateurs comme le Sar Mérodack Joséphin Péladan qui fut le dernier promoteur de la Rose Croix et de l’art symboliste. Le site « artdagès » présente une nouvelle version de ce chemin ancestral tout en garantissant la tradition de la flamme symboliste et Rose Croix.
« Les chefs-d’oeuvre ne sont à personne, en propre; ils constituent la fortune spirituelle de l’humanité ,et de la future comme celle d’aujourd’hui. » Péladan