Poésie Shambhala

ENSEIGNEMENT SYMBOLISTE

Shambhala

Poésies d’oeuvres de Dominique Dagès

Désert de Gobi ! Quel est ton mystère ?
Derrière cette mer de sable
se trouve un pays légendaire.
Il a pour nom Shamballa , pays de Shambba
Pour d’autres, cité de notre seigneur
Christ ou Maitreya.
Devant moi tu m’apparais, sous un de tes aspects
Car tu es plus que je ne puis envisager.
La vie y est d’une permanence éternelle
Sous la protection du Christ lui même.
De ton sein sont sortis les plus grand êtres de la terre
Dont chacun porte sur son dos le poids de l’humanité.
Tu es une vallée luxuriante.
Où le subtil se mêle avec l’épais.
La matière n’est que l’idée qu’on s’en fait
Et toi tu personnifies cette réalité.
Tu es une vallée luxuriante
Où le subtil se mêle avec l’épais.
La matière n’est que l’idée qu’on s’en fait
Et toi tu personnifies cette réalité.
Tu nés de la pureté de Cristal
Car Christ est ton idéal.
Aussi amant de Dieu n’est pas pour me déplaire
Car tu transcendes ce cristal en gerbe de diamants.
Le silence ,la paix , la vertu ,la beauté
L’amour, la sagesse, et la volonté
D’un pays qui ne connaît que la vie.
La maladie, la mort, la vieillesse n’y existent pas
Car tout ceci n’a pas de réalité.
Lumière tu es, lumière tu resteras
Dans un univers où où le crée se meut
Avec son frère qui est l’incréé.
Ta puissance est considérable
Tu es la source de l’humanité
Mais aussi tu as la responsabilité
De cette idée que tu as germé.
Les homme ne te comprennent pas
Mais ce n’est pas important
Car celui qui veut sincèrement
Saura ouvrir en lui la porte
De cette cité appelée : «Shambhalla .»
Ainsi maintenant je te vois
Les yeux de ma conscience
Se remplissent d’éternité.
Un jeune homme vêtu de blanc
Emet avec sa flûte
Une musique radieuse
Aux mélodies si variées,
Que l’extase me comble de joie !
Une jeune femme l’écoute silencieusement
Devant eux, se déploie une scène
Qui me berce de ravissement.
Des êtres de cristal brillent comme des soleils
Se mouvant au dessus des pyramides de cristal.
Que font ils ? Qui sont ils ?
Comment moi, simple humain, comprendrais-je ?
Cette scène aussi fantastique
Ma compréhension est limitée mais non ma condition.
De tout mon être,
De toutes mes cellules
Je semble y participer.
Je brille et communie.
Avec ces êtres qui me sont si différents.
Je vibre de mille étincelles
Pour me fondre dans l’unité.
Frères des espaces infinis
Vous vous mouvez sans limites
Dans des vaisseaux intersidéraux.
Même, si ceux-ci ne sont pas indispensables.
Aussi le mot de fraternité peut il être employé.
Malgré les diverses races qui vous rassemblent.
Le Christ, lui, dans son insatiable bonté, vous unis.

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